Le très noble lettré
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Le très noble lettré
Le très noble lettré : Achraf Adib
Achraf Adib, ADIB, Achraf, Le très noble lettré, an 26 de la nouvelle ère, Tanaris.
On m’a raconté un jour que je suis né quelque part dans les savanes de Nagrand. On m’a dit que dès mon plus jeune âge, je commença à maîtriser les énergies des arcannes, les modelant selon mon envie. Celui qui m’a dit cela n’était qu’un fou doublé d’un menteur.
Chapitre 1 : La vérité sur mon passé
Tout ce que je me rappelle de mon enfance est une seule nuit. J’avais près de 10 ans. Ma famille et moi habitions une coquette maison dans un village d’un pays désertique de Draenor, depuis longtemps disparu avec le reste du monde. Notre habitation était juché sur un sur-plomb rocheux, d’où on pouvait y voir l’ensemble du village. Pendant que je jouais avec ma sœur dans une autre pièce de la maison, mon père racontait à ma mère et quelques membres de ma famille qu’il fallait faire attention, car des esclavagistes orcs faisaient de nombreux raids sur les conté voisin. Ces bandits capturaient toute personne dans leur chemin, les enfermant dans de minuscules cages et les revendant à de riche citadins de Draenor. Après ce récit troublant, Père nous envoya se couché. Je m’endormis très rapidement. Plus tard, des cris de douleur et de désespoir me firent sortir de mes rêves. Je regarda alors par la fenêtre. Les esclavagistes étaient là et ils saccageaient le village!! Toutes les maisons en bas dans la vallée brûlaient. Je vis alors des torches éclairant des visages verts au regard menaçant s’approchant de la maison. Les Orcs défoncèrent la porte de la demeure et attaquèrent mon père, le blessant gravement. Puis deux orcs arrivèrent avec des filets et les lancèrent sur mes frères et sœurs. Je me cachai donc dans un garde-robe avec la volonté de ne pas me faire voir, mais tel ne fut pas le cas. Un orc balafré entra dans ma chambre et fouilla partout. Lorsqu’il arriva où ma cachette et ouvrit la porte, il me prit et me mit sur son épaule. Je me débattis, je le martela de coup, mais il resta inflexible. Il voulait m’emmener à tout prix.
Les esclavagistes nous trièrent selon notre âge, notre sexe, notre force,… Finalement je me retrouva enchaîné avec des dizaines d’enfants draeneïs dans une cage, et ce, sans aucun membre de ma famille. Les derniers membres de ma famille que j’aperçus étaient ma mère et mes sœur se faisant violé. Ma mère me vit, courra vers ma cage et s’effondra. Elle venait de se faire transpercée par une flèche et son sang m’éclaboussa. Pendant plusieurs années, on me fit faire de nombreux travaux forcé, ceux qui refusaient étaient persécutés.
Les jours passèrent et devirent vite des années, les années devirent une décennie. Pendant ces années, notre caravane avait voyagé à travers une brèche inter-dimensionnelle, appelé «La porte des ténèbres». Nous arrivâmes dans un nouveau monde, nommé Azeroth. J’étais le dernier de ma famille qui était encore dans une cage; mes frères et sœur ayant été vendus à divers riches habitants de ce qui restait de Daenor, car elle était pratiquement détruite par la faute de Ner’Zhul, qui avait ouvert trop de portails dimensionnels. Après plusieurs semaines à traverser les montagnes de ce nouveau monde, nous arrivâmes dans une jungle. Un bateau nous y attendait. La caravane traversa un océan et accosta à un continent. Cette terre était désertique, tout comme mon pays natal. Les esclavagistes nous emmenèrent à une ville où nous allons y être vendu. Elle était habité par des petits êtres verts, ayans de grandes et fines oreilles. Les orcs nous poussèrent un par un sur une estrade construite sur à partir d’une vieille potence à l’entour de laquelle une foule s’était rassemblée. J’étais le premier à monté sur cette estrade improvisée. Un homme cria quelque chose d’une langue inconnue. S’en suivit de plusieurs autres cris. Je compris alors qu’on me vendait aux enchères! Le premier homme cria quelque chose et tout le monde se turent et un cri de surprise s’éleva de l’assemblée. Cet homme, qui portait une grande robe blanche, un turban bleu et de nombreux bijou fait d’or, venait de m’acheter pour une haute somme d’argent. On me traîna brutalement vers un elek, que le même homme avait acheté plutôt. On m’y attacha. L’homme embarqua sur la selle et partit.
Achraf Adib, ADIB, Achraf, Le très noble lettré, an 26 de la nouvelle ère, Tanaris.
On m’a raconté un jour que je suis né quelque part dans les savanes de Nagrand. On m’a dit que dès mon plus jeune âge, je commença à maîtriser les énergies des arcannes, les modelant selon mon envie. Celui qui m’a dit cela n’était qu’un fou doublé d’un menteur.
Chapitre 1 : La vérité sur mon passé
Tout ce que je me rappelle de mon enfance est une seule nuit. J’avais près de 10 ans. Ma famille et moi habitions une coquette maison dans un village d’un pays désertique de Draenor, depuis longtemps disparu avec le reste du monde. Notre habitation était juché sur un sur-plomb rocheux, d’où on pouvait y voir l’ensemble du village. Pendant que je jouais avec ma sœur dans une autre pièce de la maison, mon père racontait à ma mère et quelques membres de ma famille qu’il fallait faire attention, car des esclavagistes orcs faisaient de nombreux raids sur les conté voisin. Ces bandits capturaient toute personne dans leur chemin, les enfermant dans de minuscules cages et les revendant à de riche citadins de Draenor. Après ce récit troublant, Père nous envoya se couché. Je m’endormis très rapidement. Plus tard, des cris de douleur et de désespoir me firent sortir de mes rêves. Je regarda alors par la fenêtre. Les esclavagistes étaient là et ils saccageaient le village!! Toutes les maisons en bas dans la vallée brûlaient. Je vis alors des torches éclairant des visages verts au regard menaçant s’approchant de la maison. Les Orcs défoncèrent la porte de la demeure et attaquèrent mon père, le blessant gravement. Puis deux orcs arrivèrent avec des filets et les lancèrent sur mes frères et sœurs. Je me cachai donc dans un garde-robe avec la volonté de ne pas me faire voir, mais tel ne fut pas le cas. Un orc balafré entra dans ma chambre et fouilla partout. Lorsqu’il arriva où ma cachette et ouvrit la porte, il me prit et me mit sur son épaule. Je me débattis, je le martela de coup, mais il resta inflexible. Il voulait m’emmener à tout prix.
Les esclavagistes nous trièrent selon notre âge, notre sexe, notre force,… Finalement je me retrouva enchaîné avec des dizaines d’enfants draeneïs dans une cage, et ce, sans aucun membre de ma famille. Les derniers membres de ma famille que j’aperçus étaient ma mère et mes sœur se faisant violé. Ma mère me vit, courra vers ma cage et s’effondra. Elle venait de se faire transpercée par une flèche et son sang m’éclaboussa. Pendant plusieurs années, on me fit faire de nombreux travaux forcé, ceux qui refusaient étaient persécutés.
Les jours passèrent et devirent vite des années, les années devirent une décennie. Pendant ces années, notre caravane avait voyagé à travers une brèche inter-dimensionnelle, appelé «La porte des ténèbres». Nous arrivâmes dans un nouveau monde, nommé Azeroth. J’étais le dernier de ma famille qui était encore dans une cage; mes frères et sœur ayant été vendus à divers riches habitants de ce qui restait de Daenor, car elle était pratiquement détruite par la faute de Ner’Zhul, qui avait ouvert trop de portails dimensionnels. Après plusieurs semaines à traverser les montagnes de ce nouveau monde, nous arrivâmes dans une jungle. Un bateau nous y attendait. La caravane traversa un océan et accosta à un continent. Cette terre était désertique, tout comme mon pays natal. Les esclavagistes nous emmenèrent à une ville où nous allons y être vendu. Elle était habité par des petits êtres verts, ayans de grandes et fines oreilles. Les orcs nous poussèrent un par un sur une estrade construite sur à partir d’une vieille potence à l’entour de laquelle une foule s’était rassemblée. J’étais le premier à monté sur cette estrade improvisée. Un homme cria quelque chose d’une langue inconnue. S’en suivit de plusieurs autres cris. Je compris alors qu’on me vendait aux enchères! Le premier homme cria quelque chose et tout le monde se turent et un cri de surprise s’éleva de l’assemblée. Cet homme, qui portait une grande robe blanche, un turban bleu et de nombreux bijou fait d’or, venait de m’acheter pour une haute somme d’argent. On me traîna brutalement vers un elek, que le même homme avait acheté plutôt. On m’y attacha. L’homme embarqua sur la selle et partit.
Dernière édition par Silith le Sam 19 Sep - 5:12, édité 1 fois
Re: Le très noble lettré
Chapitre 2 : Captivité et apprentissage
La patience est la clef de la victoire!
Pendant le trajet, je me suis évanouis. Lors que je me réveilla L’elek avançait toujours, me râpant la figure dans le sable. Je gémis et l’elek s’arrêta. Je me levai pendant que l’homme débarqua de sa monture. Je regardai alors l’environnement. Partout autour de moi, il y avait que du sable. Que des dunes à perte de vue. Je ne voyais plus aucune ville. Seulement des rocher et des ruines, et bien sur du sable. L’homme s’arrêta à côté de moi et me dit quelque chose dans son langage. Il me pointa l’Elek avec insistance. Je compris plus tard en me remémorant ses dires qu’il avait dit « On est assez loin de Gadgetzan, tu peux monté avec moi sur cet elek.», mais sur le coup, je n’ai rien compris. Alors, mon «maître» récita quelque chose. Je lévita donc jusque sur l’elek, mon maître monta sur la monture et repartit.
La traversé du désert fut longue et pénible. Après plusieurs heures, nous arrivâmes à un palais. C’était la demeure de mon maître. Pendant deux ans, je le servis comme simple serviteur. Il m’apprit le commun, sa langue natale, et quelques autres dialectes anciens. Pendant ma deuxième année de servitude, pour me gratifié de mes loyaux services, mon maître, nommé Markus, m’apprit à lire et à écrire. Il disait que j’avai un talent dans le domaine. Au cours de la même année, Markus m’initia aux arts arcaniques, la voie du mage. Les années passèrent et les liens entres Markus et moi se renforcirent, si bien qu’il me considérait presque comme un «fils», qu’y lui ait coûté un peu cher. Pendant toutes ces années, j’explorai le palais, le pays et, parfois même, le continent. Malgré les regards effrayés des habitants du coin, car j’étais le seul draeneï de ce monde, je me pavanais un peu partout.
La patience est la clef de la victoire!
Pendant le trajet, je me suis évanouis. Lors que je me réveilla L’elek avançait toujours, me râpant la figure dans le sable. Je gémis et l’elek s’arrêta. Je me levai pendant que l’homme débarqua de sa monture. Je regardai alors l’environnement. Partout autour de moi, il y avait que du sable. Que des dunes à perte de vue. Je ne voyais plus aucune ville. Seulement des rocher et des ruines, et bien sur du sable. L’homme s’arrêta à côté de moi et me dit quelque chose dans son langage. Il me pointa l’Elek avec insistance. Je compris plus tard en me remémorant ses dires qu’il avait dit « On est assez loin de Gadgetzan, tu peux monté avec moi sur cet elek.», mais sur le coup, je n’ai rien compris. Alors, mon «maître» récita quelque chose. Je lévita donc jusque sur l’elek, mon maître monta sur la monture et repartit.
La traversé du désert fut longue et pénible. Après plusieurs heures, nous arrivâmes à un palais. C’était la demeure de mon maître. Pendant deux ans, je le servis comme simple serviteur. Il m’apprit le commun, sa langue natale, et quelques autres dialectes anciens. Pendant ma deuxième année de servitude, pour me gratifié de mes loyaux services, mon maître, nommé Markus, m’apprit à lire et à écrire. Il disait que j’avai un talent dans le domaine. Au cours de la même année, Markus m’initia aux arts arcaniques, la voie du mage. Les années passèrent et les liens entres Markus et moi se renforcirent, si bien qu’il me considérait presque comme un «fils», qu’y lui ait coûté un peu cher. Pendant toutes ces années, j’explorai le palais, le pays et, parfois même, le continent. Malgré les regards effrayés des habitants du coin, car j’étais le seul draeneï de ce monde, je me pavanais un peu partout.
Re: Le très noble lettré
Chapitre 3 : Règne
Plusieurs années plus tard, j’étais devenu un mage expérimenté, un calligraphe hors pair, un alchimiste chevronné et un herboriste doué. Après toutes ces années, Markus tomba malade. Je partis donc chercher des plantes médicinales à férélas et au cratère d’Un Goro. Le voyage fut long, car ces plantes étaient rares à trouver. Lorsque j’ai revenu, il était trop tard. Mon maître était dans une phase incurable de sa maladie. Je lui donna quand même ma mixture et son état s’améliora. Au bout d’un an, Markus était sur son lit de mort. Il me convoqua dans sa tour et m’annonça que puisqu’il n’avait pas de fils ou de famille et que j’étais son fils qu’il n’avait jamais eu. Il me légat donc son palais, son titre et tout ses biens. Puis il arrêta de bougé, il était mort… J’étais devenu le Sultan des terres arides de Tanaris.
Plusieurs années plus tard, j’étais devenu un mage expérimenté, un calligraphe hors pair, un alchimiste chevronné et un herboriste doué. Après toutes ces années, Markus tomba malade. Je partis donc chercher des plantes médicinales à férélas et au cratère d’Un Goro. Le voyage fut long, car ces plantes étaient rares à trouver. Lorsque j’ai revenu, il était trop tard. Mon maître était dans une phase incurable de sa maladie. Je lui donna quand même ma mixture et son état s’améliora. Au bout d’un an, Markus était sur son lit de mort. Il me convoqua dans sa tour et m’annonça que puisqu’il n’avait pas de fils ou de famille et que j’étais son fils qu’il n’avait jamais eu. Il me légat donc son palais, son titre et tout ses biens. Puis il arrêta de bougé, il était mort… J’étais devenu le Sultan des terres arides de Tanaris.
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